Carte D'identité



Nom : Ciccone
Prénom : Shannon
Age : 20

Physique

Physionomie :
Par où commencer… ? Tout est bon à prendre chez Shannon ! De la tête aux pieds, il n’y a aucun défaut apparent. Ce qui fait en général fuir les gens, ce n’est pas du tout l’extérieur, car rien n’est effrayant chez elle, à part peut-être sa grande taille intimidante, sans parler de sa splendeur et de la grâce qu’elle dégage.
Shannon est effectivement plutôt grande pour une jeune fille, et sa taille en a déjà intimidé plus d’un… Son mètre soixante-quinze est parfois – voire très souvent – accentué par des talons aiguilles qu’elle porte avec grâce et qui ne font que la rendre plus grande, ce qu’elle adore, se sentant dominante.
Ses soixante-cinq kilogrammes sont parfaitement répartis sur le long de son corps, c’est-à-dire qu’ils sont abondants non pas sur sa bedaine mais à la poitrine et plus bas, aux fesses, ce qui est tout à son avantage. Son ventre est au contraire presque inexistante tant elle est plate, sans tomber dans l’extrême.
Elle cache une fine musculature qui ne lui est presque d’aucun usage, car malgré une certaine force dans les jambes et une endurance à laquelle elle n’a jamais recours, elle est plutôt frêle et ne sait pas se battre.

Son visage est quelque peu spécial, car à son grand étonnement, il déplait à certaines personnes, contrairement à son corps irréprochable. En effet, son doux minois est handicapé par un front plutôt large et un menton de même envergure. Son nez, contrairement aux classiques de la jolie fille, est droit et dur sans, pour autant la faire ressembler à une sorcière. Ces petits défauts n’empêchent pas une certaine harmonie sur son visage, assurée par ses yeux noisette et son sourire enjôleur, qui laisse découvrir une rangée de dents blanches et parfaitement alignées, quoiqu’un peu longues. Ceci-dit, bien qu’harmonieux, son visage dégage un air d’arrogance qu’elle aime alimenter, se sentant en constante supériorité par rapport aux autres et ce uniquement grâce à son physique et à son argent.
Loin d’être un peau de peinture, elle sait qu’elle n’a pas besoin de ça pour être belle, mais opte toujours pour un maquillage discret que rien du tout.

Ses cheveux, plutôt courts, sont assez négligés par la jeune femme, contrairement à ce que l’on pourrait imaginer. En effet, elle préfère ne pas se prendre la tête avec pour accorder plus de temps à son visage à maquiller ou à son corps à habiller. N’allez pas imaginer qu’elle ne fait pas son shampooing quotidien à ses cheveux décolorés depuis l’adolescence ! Elle en prend très soin côté hygiène, mais leur courte taille s’explique par la prise de tête qu’elle préfère s’épargner. Ils sont souvent coiffés de la même façon mais il lui arrive de les attacher ou de les boucler.


Vêtements :
Comme vous pouvez l’imaginer, Shannon n’est pas du genre à aimer passer inaperçue.
Comme vous pouvez également très bien l’imaginer, elle aime les vêtements affriolants, mais pas trop !
Elle aime se sentir à l’aise dans ses vêtements, c’est pourquoi vous ne la verrez jamais dans une jupe ras-la-moule en cuir. Ce n’est pas pour autant qu’elle ne peut pas paraitre vulgaire, pour les bonnes sœurs du moins, car bien que courtes, les tenues de Shannon n’iraient pas sur une catin. Elle passe de la mini-jupe rose au jean avec toujours autant de grâce ! Sa tenue préférée reste un t-shirt avec un short en jean, sa tenue des aventures !
Elle aime les couleurs vives comme le rose (sa couleur préférée) mais opte parfois pour la sobriété.

Signe distinctif :
Rien de particulier, à part qu’elle a un look de Barbie.

Mental

Psychologie :
Chiante, capricieuse, exigeante, vaniteuse… Shannon est vraiment le genre de fille qu’on adore détester !
Il faut dire qu’à part être belle, elle ne fait rien pour être appréciée. Et pourquoi d’ailleurs ? Elle n’a pas besoin des autres, du moment qu’elle a l’argent et la beauté.
Du haut de ses quinze ans, Shannon avait déjà pour ambition d’épouser un homme d’affaires riche, en-dessous de la quarantaine. Cela résume à peu près ce à quoi elle aspire dans la vie : l’argent.
Superficielle et égocentrique, Shannon n’aime pas la vie en communauté et se la joue bien trop perso, tout en sachant qu’un jour cela se retournera contre elle.
Elle est très désagréable et, à moins d’être comme elle, il est difficile d’en devenir l’ami, à moins d’être beau !
Pour elle, la beauté extérieure est primordiale, et la beauté intérieure secondaire.
Elle se plait à jouer la femme indépendante et mature, mais au fond elle a besoin de suivre un troupeau, dont elle aime se démarquer malgré tout. Mais elle n’a pas le cran de prendre des décisions trop importantes toute seule.
Elle est également trop franche et ne connait pas le mot « tact ». Alors oui, la franchise est une qualité, jusqu’à certaines limites largement franchies par mademoiselle Ciccone !
En réalité, Shannon est prisonnière dans un rôle, celui de la gentille blonde, car personne ne l’a encouragée à se développer. Elle est en fait une jeune fille intelligente qui préfère ne pas se fouler pour éviter d’avoir à réfléchir justement, et pour rester dans son rôle de potiche, car elle pense que c’est de cette façon qu’elle réussira dans la vie. Sans tomber dans le mélodramatique, on peut dire qu’elle est en quelque sorte victime de son image.

Qualités : quasi nulles… Disons qu’elle est franche mais surtout jolie, riche… Et sympa, une fois qu’on la connait. Intelligente à ses heures.
Défauts : égocentrique, fainéante, superficielle, matérialiste, antipathique, et c’est peu dire !
Sexualité : strictement hétéro ! Elle ne regarde les filles que pour comparer et a déjà embrassé sa meilleure amie, comme beaucoup d’adolescentes à la recherche de sensations fortes, mais n’a jamais renouvelé l’expérience en réalisant l’horreur et l’ignominie de son acte (bien que tolérante, elle n’a pas aimé tenté ça elle-même).

Personnage

Maladie Mentale : cacophobie

Karma : neutre, elle n’aime pas prendre un parti trop extrême de peur que ça se retourne contre elle. Elle penche cependant plus vers le bien.
Histoire :
Que raconter sans ennuyer l’auditoire… ? Commençons par la rencontre de Veronica Ciccone, une jeune serveuse italienne et James Richardson, un riche homme d’affaires. La Ciccone, à la recherche d’un mari et d’argent, vit en son client l’époux idéal. Elle le servit donc du mieux qu’elle pu, afin d’obtenir un gros pourboire et surtout pour attirer son attention et son désir, ce à quoi elle parvint puisqu’ils couchèrent ensemble le soir même, et dans le feu de l’action oublièrent de se protéger, ce qui valut à la jeune serveuse un test de grossesse positif. Trop jeune pour avoir un enfant, elle pensa un moment à l’avortement mais ne voulait pas dépenser tout l’argent de son pourboire là-dedans, pour la gueule de cet enfant. Elle ne revit jamais le père de l’enfant qu’elle portait.

Dramatique, n’est-ce pas ? Surtout lorsqu’on sait que Veronica était en conflit avec ses parents, et que cette nouvelle lui valut d’être mise à la porte. A la recherche d’un emploi, elle dû user de son physique, et profita du fait que son ventre n’était pas encore trop rond pour poser devant l’objectif de photographes plus ou moins talentueux. Elle déménagea avec son premier mari en Amérique, prenant sa revanche sur sa famille qui l’avait rejetée.

Là-bas, elle mit au monde Shannon, qu’elle élèvera avec une cuillère en or dans la bouche. Ballotée de maison en maison, Shannon n’a jamais eu de vrai père. En effet, sa mère changeait de mari comme de chemise. Désormais businesswoman importante, Veronica Ciccone se permettait toutes les folies. Comme si elle était retombée en adolescence (elle n’était tout de même pas très vieille), elle flirtait un soir puis quittait son petit copain au bout d’une semaine.
Heureusement pour elle, sa fille fut élevée principalement par sa nounou, et malgré une enfance instable, elle parvint à maintenir un certain équilibre grâce à la jeune Colombienne qui s’en occupait comme de sa propre fille.
Elle éprouva tout de même de la souffrance tout le long de son enfance à cause du peu de temps passé avec sa mère, qui semblait se ficher complètement de sa progéniture, et de ses plusieurs beaux-pères. Dès qu’elle commençait à entretenir une relation plus ou moins stable avec un éventuel père, il partait.

A l’adolescence, Shannon décida de prendre sa revanche. Elle voulait que sa mère fasse attention à elle, et ce n’était pas gagné. Elle commença par se teindre les cheveux en blond, sans lui demander l’autorisation. Elle eu juste droit à un « Oh, tu t’es teinte ? Tu ne m’en as pas parlé… ». Elle commença alors à changer, beaucoup.
Autrefois jeune fille bonne sous tout rapport, Shannon s’est métamorphosée en ce qu’on n’aurait jamais pu croire d’elle : elle se mit à trier ses amis selon leur physique, rayant les moches (et souvent les plus sympathiques) de sa liste, son style vestimentaire n’était même plus celui d’une adolescente… Etait-ce vraiment Shannon Ciccone ?

Puis les garçons entrèrent dans sa vie… Le fait qu’elle leur était attirante faisait naitre en elle un sentiment de supériorité qu’elle ne manquait pas d’exprimer aux moches. Ce fut un des points culminants de sa phobie.

Elle avait le pouvoir : la beauté, l’argent, les garçons… Elle ne supportait plus les autres, et surtout pas les moches. Elle savait que Dieu n’existait pas, car jamais il n’aurait été si généreux avec elle et si salaud avec les autres. Très vite, elle ne pu plus voir les moches. Elle se mit à être très méchante avec eux. Adepte du bizutage, elle lançait des seaux d’eau froide sur les laides dans les toilettes, les poussait dans les couloirs, leur lançait de la nourriture…

Ce n’était qu’à l’adolescence. Elle réalisa ensuite l’horreur de ses actes sans pour autant l’admettre, par pure fierté.

Entre temps, à dix-neuf ans, elle se maria. Cinq mois plus tard, elle divorçait.

Le soir de la rupture, elle rentrait chez elle. Le bruit de ses talons aiguilles faisait remarquer sa présence à tout le quartier. Elle sentit que quelqu’un la suivait. Effrayée, elle accéléra le pas, ce qui n’était pas évident avec de telles chaussures. La peur commençait à vraiment s’emparer d’elle, elle décida alors de se mettre pieds nus, quitte à se salir, et courut à toute vitesse. Elle trouva tout de même le moyen de tomber, et son traqueur lui tomba dessus : c’était un gars qu’elle connaissait, un moche qui était soit disant amoureux d’elle. Il lui tendit la main pour l’aider à se relever, mais Shannon ne pu se résoudre à l’empoigner.
Ils étaient tous les deux seuls, sous un pont dans une rue bien sombre. Effrayée mais toujours une Ciccone, elle lui dit qu’elle n’avait pas besoin de son aide. Lorsqu’il lui déclara sa flamme de manière fastidieuse et tout à fait maladroite, elle lui rit au nez et le rabaissa à coups de paroles blessantes, en lui assenant le coup final par cette-dernière : « tu n’as aucun aucune chance ».
Là, le moche s’énerva. Il piétina les pieds nus de la jeune fille avec ses grosses bottes de rustre paysan et se mit à la battre. Par chance (et par accident, en tentant de se relever), elle parvint à l’immobiliser en lui donnant un coup de genoux à l’entrejambe. Il tomba comme une vulgaire merde, et Shannon se mit à le taper avec ses talons aiguille, parvenant même à le faire un peu saigner. Pressée de s’enfuir, elle tenta d’emporter ses talons aiguille, mais elle ne pu s’y résoudre : ils étaient tâchés du sang de cet affreux, et il lui serait juste i-m-p-o-s-s-i-b-l-e de les remettre désormais. C’était ses préférés…

Traumatisée par cet accident, Shannon n’adressa plus la parole aux gens qu’elle jugeait laids. Mais comment vivre dans un monde de moches lorsqu’on est beau et qu’on en a peur ? Au bout de quelques temps, Shannon quitta son boulot de baby-sitters pour friqués car même les enfants dont elle avait la charge étaient moches. Elle se mit à craindre d’avoir un enfant laid, et se retira du monde extérieur, entre plusieurs voyages en France, en Angleterre, en Australie et bien d’autres (elle espérait trouver une ville sans moches, mais ils sont partout !). Après tout, elle pouvait être livrée chez elle, elle n’avait plus besoin de sortir et sa maison était bien assez grande pour qu’elle y passe le restant de ses jours.

Ironiquement, Veronica Ciccone décida de prendre en charge sa fille et l’envoya au très recommandé docteur Parkinson pour soigner sa phobie des laids, car d’après elle, même s’ils n’ont aucune valeur physique, ce sont des êtres humains.

Dans le monde parallèle
Pouvoirs :
Miroir mon beau miroir :
Lorsque tu croises ton reflet dans une surface réfléchissante, tu t’enlaidis à tel point que tu en deviens méconnaissable durant 1 messages RP. Durant cette période les gens te trouveront tellement repoussante qu’il leur sera impossible de regarder dans ta direction…

Vous
Multicompte : non ! Pas encore en tout cas
Age : 15
Nom de l'avatar : essai 1 hahahaha... Maggie Grace
Comment avez-vous connu le forum : j’y étais déjà, puis suis parti, mais quelqu’un m’a fait revenir… Une bonne commerciale ! XD