Physionomie : Une jolie tête de poupée -cheveux bonds, sourire espiègle et deux grands yeux couleur noisette- et un corps élancé, ni trop maigre ni trop gros, proportionné : Naomie n'a pas à souffrir d'un physique disgracieux. Mais bien évidemment, comme toute fille qui se doit (cliché, quand tu nous tiens) la demoiselle trouve à redire à ses hanches et déteste ses pieds. Les pieds, c'est toute une histoire, presque un complexe mais finalement, ce sont les mêmes chez tout le monde : un pied, c'est moche, c'est d'ailleurs surement pour ça qu'on s'en sert pas pour manger une gauffre ou se laver les cheveux. Une main, bien que plus classe, n'a tout de même pas l'utilité première du pied à savoir : marcher dessus. Et pour Naomie, des années de marche sur échasses instables (autrement appelé "talons") lui ont value un bon équilibre et grâce à cela une démarche gracieuse. Outre cela on ne saura mieux la décrire qu'en une jolie jeune fille au visage angélique et au sourire adorable. On remarque aussi un dynamisme (allez savoir comment) se dégager de la demoiselle, en un regard on se sent sourire à notre tour, comme transporter.

Vêtements : Allez, on ne niera pas, elle aime s'habiller. C'est une sorte de passe temps, car il faut dire qu'elle a eu du temps à perdre, qu'elle a toujours gardé. Faire les magasins pendant des heures pour dénicher LE haut qui va avec LA jupe qui traine depuis des mois dans son placard, c'était son truc. Vestimentairement, Naomie sait y faire : toujours les bons accords de couleurs, pas un pli de travers. Elle s'habille de façon assez classe, sans pour autant en faire trop. Mais, de cette façon assez étrange et agaçante qu'on les filles que l'on rêve de voir bruler (loi de moi l'idée d'être jalouse, je suis que le narrateur hein) elle possède ce don : même avec un accoutrement des plus simple, il se dégage de la jeune fille quelque chose, comme si tout avait été prévu pour s'assembler merveilleusement bien. Naomie n'aime pas en faire trop, mais assez quand même, à une certaine limite entre le "habillé" et le "détendu". Elle reste une éternelle adepte des talons, et cela l'a même suivi durant sa période junkie car en toute circonstance, il faut savoir garder une part d'originalité. Au niveau des couleurs, ses gouts gravites entre les teintes marron ou beige, et toute sorte de bleu. Le noir restant évidemment incontournable.

Signe Distinctif : Un tache de naissance marron sur l'omoplate droit, une cicatrice en forme de cake sur le bras droit (vilain le chien !) et... c'est tout je pense.


Psychologie : Naomie est le genre de personne à toujours avoir un avis sur tout, elle déteste paraitre ignorante et aime savoir plus que tout le monde. Elle arbore souvent un air de petite fille, elle a d'ailleurs garder une grande part de son enfance : le rêve et l'imagination, notamment sa capacité à inventer mille et une théories improbables pour expliquer l'inexplicable. Elle peut être parfois (trop) bavarde, et il est vrai qu'elle s'emporte facilement dans de longs monologues, notamment sous le coup d'une trop grande émotion. C'est en quelque sorte une façon de cacher sa sensibilité. La jeune fille a aussi une nette idée de ce qui est bien ou mal, elle aime à séparer les gens, les juger, les psychanalyser intérieurement afin de savoir s'il sont ou non de confiance. Elle l'a toujours fait, et pourtant sait que ce n'est pas bien car on n'est jamais ce qu'on parait être. Naomie est une jeune fille intelligente, engagée aussi et toujours prête à défendre une cause. C'est enfin une excellente jongleuse (pas au sens propre, j'entends), elle sait être franche et aime la sincérité mais connait également très bien les vices de l'hypocrisie, disons que cela dépend du degrés de confiance de la personne avec qui elle se trouve. La confiance est une des rares choses que Naomie à du mal à partager.

Qualités : Souriante, optimiste , sensible
Défauts : Bavarde, aux comportement parfois trop infantiles, têtue
Sexualité : Hétérosexuelle.

Maladie Mentale : Syndrome de Korsakoff
"Le syndrome de Korsakoff présente des symptômes d'amnésie sévère, antérograde et rétrograde (l'individu ne se souvient plus de son passé (à l'exception d'éléments de son passé lointain) et ne peut plus acquérir de nouvelles informations en mémoire à long terme) accompagnée de fabulations et de fausses reconnaissances." (de Wikipédia, je trouve que c'est très bien expliqué alors j'ai pas voulu modifier)

Karma : Bon

Histoire :Naomie, fille unique, première et dernière éructation d'une famille fortunée mais fatiguée, vécut une vie agitée et bien remplie de petite fille riche et choyée.

On pourrait presque croire que j'ai eu une vie heureuse comme ça non ? Mais non. Le bonheur ça ne se trouve pas comme ça, c'est pas un cadeau que l'on dépose gentiment au pied de notre lit d'hôpital parce que nos parents on bien travaillé. Non non non. Il 'y a cas pencher la tête dans une maternité, c'est pas pour rien que la première chose que chaque progéniture fait c'est hurler et pleurer -manquerait plus qu'il sorte avec un grand sourire et un bouquet de fleur. Si un décodeur aurait pu être utilisé, je suis presque certaine que les propos de ce petit bout de viande ruisselant de sang serait un genre de « laissez moi retourner dans ce ventre étroit et confortable où je suis nourri et logé à l'œil, câliné, aimé sans avoir à déborder d'hypocrisie et surtout en paix depuis 9 mois ». En tout cas, c'est probablement ce que moi j'ai dit. Pour revenir à mon histoire, parce que (et cela sans aucune prétention - ou si peu) c'est quand même un peu de moi dont il s'agit ici ; J'ai connu mes première années de naïveté dans un climat instable, mais qui, à défaut de chaleur et d'amour, m'apprit à me débrouiller seule et dévellopa ainsi mon esprit de débrouillarde. Logeant gracieusement dans l'appartement luxueux de ma famille, en riche héritière que j'étais, j'aurais pu continuer longtemps à m'amuser à courir après le dernier sac Chanel que tout le monde s'arrache, me pavaner dans les endroits les plus huppés de la ville avec mes talons du haut desquels j'avais la nausée et un mec idiot et inutile mais dont la dysphonie n'était pas plus désagréable que les niaiseries qu'on me réservait d'habitude à mon bras. Le problème voyez vous, c'est que quand on a tout, on s'ennuie montrueusement.

S'il y a bien une phrase qui reflète la vérité sur cette vacuité profonde dans laquelle j'évolue, c'est celle ci « Le malheur d'être riche, c'est qu'il faut vivre avec des gens riches. ». Et c'est là toute l'histoire de ma vie. Il y a des codes, on ne dit pas bonjour de la même façon, ne fréquente pas le même lycée, les mêmes magasins, n'écoutons pas les mêmes musiques que les autres. Nous sommes supérieur et supérieurement nous agissons comme telle. Il y en a qui s'en accommode, pas moi. Après deux ans à trimballer mon sourire débordant d'hypocrisie à toutes les pétasses de la haute société, j'ai décider de changer d'établissement et de me fondre dans la masse, le bas peuple, la plèbe. C'était d'ailleurs très satisfaisant, j'y était admirée par certains, et profondément haïe par d'autres. Je rentrais enfin dans un cycle normal, une vie normale. Mais rien n'est vraiment normal dans mon monde. Mon comportement et ma soudaine disparition de la sphère médiatique n'a pas vraiment plut à mon père. Je suis passée en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire du statut de petite reine de la famille à fille de la honte. Je sais que ma dispute familiale m'a bercée pendant un certain temps, mais après cela, rien.

Quasiment deux ans de ma vie ont disparut de ma mémoire. Parfois, il me semble reconnaître une personne dans la rue. J'en suis tellement persuadée que même des odeurs, des sons s'apparentant à un souvenir me reviennent. Alors, je cours, l'accoste et je me vois dans le regard effrayé de cette personne. Je me vois comme une folle, pourtant je ne le suis pas. En vérité, ce sont les gens autour de moi qui sont fou. Ce sont eux les malades, et ce sont eux qui devraient venir asseoir leur derrière sur cette chaise à regarder bouger ce pendule de gauche à droite en attendant la révélation, le plongeons dans l'inconscient, le truc, la vérité quoi. »

Voilà ce qu'offrit Naomie en guise de présentation lorsque le docteur lui demanda la raison de sa venu « en quelques mots » bien qu'il sache exactement de quoi il en retourne. Seulement il était assez dur d'envisager que Naomie Greenaway n'utilisa dans une phrase que « quelques mots » surtout lorsqu'il s'agissait de parler d'elle même. Alors, en tant que narrateur, il est donc de mon devoir de continuer le récit de cette histoire, qui, au vu de sa perte de mémoire, la patiente elle même n'aurait pu continuer.

A une vingtaine d'année, la demoiselle se retrouva toute seule, sa famille lui offrit un appartement à l'autre bout du pays et lui envoyer une belle somme chaque mois en échange de quoi elle ne « venait plus les enquiquiner et vivait sa vie comme il lui plaisait ». C'est donc ce qu'elle fit, trouvant son compte en s'inscrivant dans une université de théâtre et écrivant de temps en temps quelques articles peu amène sur les vices de ce monde dans un journal local. Mais l'ennui plana alors sur elle, il s'étala de tout son long dans sa vie et la demoiselle trouva bientôt une activité bien plus excitante. Le soir devenait bientôt son royaume, la fac fut vite enterrée tout aussi profondément que son pseudo emploi de journaliste de pacotille. Le temps des soirées était venu, mais elle n'était plus dans son monde de paillette, de champagne et d'ecsta la petit fille, et avec le temps c'est la vodka et l'héro qui habitèrent son quotidiens. Elle avait changé, beaucoup. Elle n'était plus la petite blonde bien élevée, qu'on imaginait sortie du ventre maternelle déjà chaussée de ses talons à 500euros, l'air cruche et le sourire superficielle au lèvre. Etait-ce un bien ? Peut-être pas... Vous imaginez bien que les fréquentations n'étaient pas non plus les mêmes, on se piquait ensemble, prenait le petit déj' dans la même bouteille, c'était un train de vie étrangement agréable pourtant, Naomie adorait ça. Ou croyait l'adorer. Des discussion philosophique sur tout ou rien, les lumières dans les yeux, la sensation de vide, toutes les choses que l'on peut ressentir, et ça avec tous les produits possibles. C'était le temps d'une débauche dangereuse, naïve et puérile, presque désespérée pourtant. Car eux, ils avaient tous une histoire, débordant de tristesse, de nostalgie, et tant encore. Mais c'était un sujet jamais évoqué, presque tabou, et ça pour le bien de tous. On était tous ensemble, maintenant, le passé n'était pas à l'ordre du jour. Et petit à petit, à force de n'en plus parler (et c'était la seule raison valable qu'elle avait en vérité trouvé pour se rassurer) elle oublia...

Un quotidiens de rien, de drogue, d'alcool et d'oublie.

Et comme vous vous en doutez, comme cela arrive dans chaque histoire, la fin. Ça aurait pu être facile, de dire ça je veux dire. La fin, juste la fin. Et j'imagine qu'il n'aurait même pas fallu plus d'explication, parce qu'au fond on sait tous ce qui lui est arrivé : overdose ou coma, les deux peut être. Seulement là, c'était différent. A vrai dire, ce n'était pas la fin, malheureusement, c'était le début de la fin. Elle s'en est sortie, mais bien sur, avec tout ce sang souillé dans les veines il était hors de question de la laisser partir. Ses parents d'ailleurs exigèrent internement, cure de désintoxication, réunion aux AA, bref tout ce que des parents feraient pour sauver leur fille, sauf qu'en l'occurrence ils voulaient surtout éviter le scandale. Après tout la fillette était censée étudier le droit en France, alors la moindre fausse note et s'était l'humiliation.

C'est à ce moment là qu'on le su. Les médecins se relayait, chacun y allant de son interprétation, jusqu'au verdict final. Puis il y eut le temps pénible, la torture, physique et morale, du manque. Le manque de monde autour d'elle, de liquide dans ses veines et d'aiguille dans son bras. C'était long et elle se sentait mourir un peu plus chaque jour. Puis un jour, elle réussit. A ne plus y penser, le temps de quelques minutes. Bientôt elle ne tremblait plus, ne transpirait plus et son corps acceptait de manger sans vomir. Elle guérit doucement, pour ressortir lavée de tous vices. Seulement il y avait autre chose, une chose plus dangereuse dont Naomie avait peur car elle ne savait l'expliquer. Ce trou dans sa vie, ce rien qu'elle pensait du à la drogue, il n'était pas revenu. Alors il y eu ce docteur, en dernier secoure, sans y croire beaucoup...

Pouvoirs :
John Smith :
Lorsque tu touches un objet pour la première fois tu t'en appropries les souvenirs de la dernière semaine (par exemple pour une chaise : qui s'y est assis, si quelqu'un a renversé du café dessus etc...) et ce pour une durée d'un message RP, après quoi ceux-ci t'échappent. Attention le processus te donne la migraine alors évite de laisser trainer tes mains partout !

Yop ! Bienvenue parmi nous ! ^^

Très jolie fiche avec quelques fautes d'orthographe éparses mais globalement je n'ai rien à redire ce qui est assez rare pour être souligné (petite chanceuse ).

Bon, la maladie en soi est due à un problème physique causé par l'alcool et donc ne devrait pas pouvoir être soignée par un psy mais comme on l'a déjà fait une fois il y a bien longtemps on va dire que c'est pas grave et que Dreamland sera bien assez magique pour dépasser les limites du possible ! Par contre du coup on a pas de groupe où te mettre car aucun ne correspond... alors au pif tu fileras dans les psychoses juste pour que tu ais une couleur.

Comme tu l'as compris tu es validée, voilà donc ton pouvoir et les explications nécessaire à ta bonne intégration dans le RP :

John Smith :
Lorsque tu touches un objet pour la première fois tu t'en appropries les souvenirs de la dernière semaine (par exemple pour une chaise : qui s'y est assis, si quelqu'un a renversé du café dessus etc...) et ce pour une durée d'un message RP, après quoi ceux-ci t'échappent. Attention le processus te donne la migraine alors évite de laisser trainer tes mains partout !

Tu peux (et dois) désormais ajouter ce pouvoir à ta feuille personnage après l'avoir généré dans ton profil si ce n'est déjà fait et créer un topic à ton nom dans la partie "Bourse et sac à dos" où son utilité et expliquée. Ah oui, et commencer à écrire, mais là je dois te préciser deux ou trois trucs au passage ^^

Suite à une quête tous les voyageurs ont été vendu en tant qu'esclaves et sont séparés en différents groupes. Il va donc falloir t'en trouver un et une explication pour ta raison de ta présence si loin d'Elipse où tout voyageur fait son arrivée. Ton groupe sera donc... hummm... celui-là : http://hypnose.hypeforum.net/sextus-f32/notre-belle-famille-t520.htm#8523

Pour expliquer ta présence, tu n'as qu'à dire que tu as été capturée à ton arrivée à Dreamland après que quelqu'un ait découvert ta condition de voyageuse, et que la famille t'a acheté puis importé jusqu'à Sextus par une voie différente des autres et que tu es arrivée un jour avant eux par exemple. Si ça te paraît pas clair et que tu veux des précisions ou que tu as des questions à poser n'hésite pas.

Et... hum... voilà !