Nom :Wilde
Prénom :Margaret
Age :19 ans
:Amérindienne de taille moyenne et de bonne constitution, elle à beau croire être malade elle ne l'est presque jamais. Elle a de longs cheveux noirs et des taches blanches disgracieuses sur les mains qu'elle cache dans ses bons jours et qu'elle met en valeur quand elle se croit malade. Elle est de taille moyenne, et possède un unique bourrelet qu'elle prend soin de ne montrer à personne. Son teint mat l'empêche d'avoir l'air aussi malade qu'elle le voudrait.
Vêtements :De vêtements simples et informes à un total délire ethnique, Margaret s'habille selon son humeur, selon si elle se sent bien ou souffrante. Sa recherche d'esthétisme va de pair avec sa bonne humeur, quand elle se sent souffrante elle fera tout pour le paraître encore plus aux yeux des autres et mettra des vêtements qui la feront avoir l'air minable et à l'agonie, elle choisira alors ce qui mettra le mieux sont teint, blafard pour l'occasion (elle est capable de se maquiller pour qu'on la prenne au sérieux), en valeur.
Signe Distinctif :Elle est atteinte de Vitiligo, une dé pigmentation de la peau, sa peau, mate à la base, est donc parsemée de taches blanches au niveau des mains.
Psychologie : Margaret peut être très ouverte, à partir du moment où elle s'entend bien avec une personne et que celle-ci ne lui en demande pas trop. L'argent a une grande valeur pour elle, en ayant manqué étant enfant elle considère que rien n'a plus de valeur que cela et refuse d'en prêter ou de payer quelque chose à qui que se soit hormis à ses parents (auxquels elle peut éventuellement acheter une tablette de chocolat bon marché pour les grandes occasions). Lorsqu'elle est en confiance tout va bien, mais dès qu'elle se sent inférieure ou laissée pour compte elle développe alors toutes les maladies possibles et imaginables. Elle n'en veut pas facilement aux gens mais elle ne pardonne pas, elle ne croit pas que les gens veuillent changer, une personne capable de vous trahir une fois ne se gênera pas pour le refaire.
Possède un goût immodéré pour la littérature anglaise et le thé aux champignons noirs et croit que c'est le cas pour tout le monde.
Qualités :Quand elle ne cherche pas à être le centre de l'attention à cause de ses maladies imaginaires elle peut être très attentive, se croit gentille (et l'est parfois), fidèle, volontaire, ouverte(tout cela dans ses bons jours)
Défauts :égocentrique, égoïste, rêveuse, tête en l'air, rancunière (pour les fautes graves), peut être cruelle par moments
Sexualité :hétérosexuelle
Maladie Mentale : Hypocondrie
Karma : neutre
Histoire :Issue d'une famille amérindienne Margaret cherchait la reconnaissance de tous, parents et autres mais sans pouvoir la trouver. Étant d'une famille nombreuse elle est pourtant fille unique. Lorsque sa tante et son oncle moururent tous deux dans des circonstances qu'on ne lui révéla pas, leurs quatre enfants furent confiés au parents de Margaret et la plupart d'entre eux étaient plus jeunes qu'elle.
Cela additionné au fait que la grand-mère, dépendante physiquement, vivait sous leur toit et demandait des soins permanents, plus personne ne prêtait garde à cette jeune fille en mal d'attention. Pire que cela, ces personnes lui volaient l'attention qu'elle méritait et en plus de cela elle devait elle-même s'en occuper, ses parents ayant tant de bouches à nourrir devaient parfois cumuler plusieurs emplois. Elle naviguait donc entre les enfants plus jeunes qu'elle, les autres auxquels on ne demandait rien à cause du traumatisme qu'ils avaient vécus et la grand-mère qui ne pouvait rien faire seule.
En plus de cela un oncle venait régulièrement demander de l'argent pour se sortir de toutes les situations gênantes dans lesquelles il avait l'habitude se mettre. En le voyant faire, en le voyant supplier ses parents et jurer que c'était la dernière fois pour revenir une semaine plus tard avec les mêmes excuses Margaret développa une haine particulièrement féroce à son égard et un profond égoïsme." Jamais" se disait-elle "Jamais je ne laisserais quelqu'un faire de ma vie un enfer comme il le fait, jamais je ne redonnerais ma confiance en quelqu'un qui l'aura trahie si ouvertement".
Tout cet effort qu'elle devait développer pour aider les autres membres de sa famille, et cette haine qu'elle vouait à son oncle, haine d'autant plus forte qu'elle même pâtissait des sacrifices faits pour lui, tout cela la mina et elle tomba malade.
A ce moment là toute l'attention se tourna vers elle, ses parents firent tout ce qu'ils purent pour leur fille, étaient auprès d'elle dès qu'ils le pouvaient, la grand-mère, folle d'inquiétude, retrouva pour le coup certaines de ces facultés et elle veilla sur sa petite fille faisant tout ce qu'elle pouvait pour la soigner et lui être agréable.
On lui jura qu'elle irait enfin à l'école, ce qu'elle n'avait pu faire à cause de toutes les responsabilités qu'on lui incombait, elle avait pris un sérieux retard et il était plus que temps d'y pallier.
Enfin elle était le centre de l'attention, enfin elle pouvait arrêter de penser aux autres pour penser à elle.
Mais elle guérit, et cette période ne devint plus qu'un souvenir, les promesses faites furent oubliées et tout redevint comme avant. Si son sort lui paraissait dur avant cela il l'était plus encore maintenant, elle avait été bercée par les promesses et l'espoir que sa vie allait changer mais rien de cela n'avait eu lieu.
C'est à ce moment là qu'elle commença à simuler des maladies pour que l'on fasse à nouveau attention à elle.
Puis son oncle mourut, suivit de peu par la grand-mère qui ne put survivre bien longtemps à son fils tellement son désespoir fut grand de l'avoir perdu. Tous étaient en pleurs, tous regrettaient ces être chers, mais pour Margaret ces deux disparitions furent un grand soulagement. Un bonheur même, on put engager une gardienne, et Margaret put aller à l'école, elle était bien plus âgée que ses camarades et moins à l'aise au milieu d'inconnus, elle développa un complexe d'infériorité face à ses camarades qui ne se gênaient pas pour se moquer d'elle allègrement.
Elle utilisa ses maladies imaginaires comme une défense vis à vis des autres, cela devint une excuse à son retard, mais plus elle faisait cela, moins ses parents y croyaient puis elle se prit à son propre jeux.
Se croyant vraiment malade elle développa même des symptômes des différentes maladies dont elle croyait atteinte et son stress fut si intense qu'elle fut réellement atteinte d'une maladie de dé pigmentation de la peau et ses mains se couvrirent de taches blanches, ce qui ne fit que la conforter dans son état d'esprit. Ses parents finirent par s'inquiéter vraiment pour leur fille quand ils constatèrent que ce n'était plus une simulation et que ces maladies imaginaires avaient de réelles répercutions sur son corps.
Malgré cela elle réussit plus ou moins à rattraper un bon niveau scolaire car elle ne manque pas de volonté lorsqu'il s'agit d'un objectif qu'elle s'est fixé.
Ses sautes d'humeur faisaient qu'elle était débordante de forme un jour et à l'agonie le lendemain, ce manège dura des années jusqu'à ses 19 ans, tout cela l'empêchait d'avoir de vrais amis car ceux-ci s'ils la trouvaient sympathique au départ, se lassaient vite de ces changements d'état et s'éloignaient tous les uns après les autres. Souffrant de cela son malaise s'intensifia encore et c'est là que ses parents eurent vent d'un certain docteur qui pourrait certainement quelque chose pour leur fille.
Ils l'envoyèrent donc chez le Dr Parkinson, lui cachant que ce n'était pas pour ses maladies physiques mais pour son désordre psychologique qu'on l'y envoyait, il ne se décidèrent à faire cela que lorsque la situation devint critique et qu'eux même ne pouvaient plus supporter de voir leur fille dépérir ainsi.
Pouvoirs : (à compléter à chaque fois qu'un admin vous en donne un)
Multicompte :
Age :19 ans
Nom de l'avatar :Delanna Studi
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par une amie
