Le soleil irradiait San Francisco de ses rayons lorsqu'un homme descendit d'un taxi. Vêtu de simples vêtements dans ce quartier riche, il avait l'impression de faire tâche. Mais cet endroit semblait normal après tout pour un médecin réputé. Jonh en avait tellement vu de ces docteurs qui se croyait bons alors que c'était faux, une véritable arnaque. Celui-là, le docteur Parkinon, pratiquait l'hypnose à ce que lui avait dit ses parents. Pourquoi pas essayer ? Une telle méthode après tout ne fait pas prendre de gros risque.
Jonh regarda un moment la plaque posé sur le mur puis sonna à la porte du bâtiment et ouvrit la porte. Il suivit un couloir et entra dans une petite pièce où se trouvait une secrétaire assise derrière son bureau. L'homme s'avança et se présenta :[/b]

- Bonjour...Jonh Matrevis, j'ai rendez- vous avec le Dr Parkinson...
La jeune femme regarda sur l'emploi du temps et sourit.

- Le docteur va vous recevoir , veuillez allez attendre dans la pièce d'à côté.

Jonh la remercia avec un petit sourire et alla dans la salle d'attente. Il prit place sur un siège et regarda les tableaux sur les murs blancs. Dans tous les cabinets il y avait des peintures étranges qui servaient de décoration pour meubler la salle, remplir le blanc que la couleur des murs inspirait...remplir un vide. Jonh secoua la tête pour chasser sa dépression qui revenait. Si il commençait un premier rendez vous dans un état comme ça cela n'allait pas vraiment aider. Il fallait penser positivement...qui sait peut être que Mr Parkinson a vraiment le mérite de sa réputation.
La porte du cabinet s'ouvrit laissant apparaitre un homme d'une quarantaine d'année , peut être même plus. Des lunettes posés sur son nez et un air campagnard qui ne lui donnait pas l'impression qu'il exerçait un métier dans la médecine. ce qui étonna le plus Jonh fût que aucun patient ne sortit du cabinet, pourtant il n'était pas le premier de la journée.

- Jonh Matrevis ?

Le nommé se leva et entra dans le cabinet sous l'invitation du docteur. L'endroit était tout ce qu'il y avait de plus normal mais l'homme avait une légère appréhension de ce qui allait suivre...