Nom : Sparks
Prénom : Serena
Age : 17 ans
Physionomie : Serena est une petite demoiselle avoisinant les 1m65. De son visage halé ressortent une paire d'yeux en amandes à la couleur ambrée qu'elle maquille assez souvent de noir. Ses cheveux retomberaient en temps normal en de légères ondulations le long de ses épaules, mais elle préfère s'amuser à les lisser. D'ailleurs, elle adore changer régulièrement de coiffures, les choisissant la plupart du temps toutes plus excentriques les unes que les autres. Malgré sa mauvaise vue, elle se refuse à afficher son handicap et donc de porter des lunettes. Elle tolère parfois les lentilles, parfois seulement. Son entêtement lui aura surement valu quelques situations cocasses.
Vêtements : Du fait de sa faible corpulence, elle peut se permettre de porter un grand nombre de vêtements divers. Elle affectionne beaucoup de styles, mais adore enfiler de longues robes de soirées qui dévoilent ses belles jambes allongées et mettent en valeur sa petite poitrine. Ce goût pour les tenues habillées ne cesse d'accroître avec la progression de sa maladie des yeux. De plus en plus le tissu coloré disparait pour ne laisser apparaître que de fines tâches brillantes.
Signe Distinctif : vision fortement diminuée, toujours équipée d'un crayon pour dessiner.
Psychologie : Plus calme qu’un lac, aussi froide que le marbre. Telle est Serena. Si elle arrive à sourire, ce n’est qu’en public et lorsqu’elle cherche à cacher son malaise. Serena est quelqu’un d’assez mystérieux dont la sociabilité ne tiens qu’à un fil. Heureusement qu’elle a sa famille qui la pousse à découvrir le monde qui l’entoure. Non, la jeune fille est une passionnée de dessin solitaire. Le dessin est sa vie, et le seul moyen d’exprimer sa maladie. A suivre.
Qualités : peu bavarde, calme, autonome, elle montre rarement ce qu’elle ressent, énigmatique
Défauts : solitaire, maladroite du fait de sa déficience visuelle, un brin arrogante
Sexualité : assez ouverte d’esprit…
Maladie Mentale : psychose hallucinatoire
Karma : Bon
Histoire : C’est dans un quartier de San Francisco qu’est née la mignonne enfant. Dès qu’elle réussi à ouvrir les yeux, ses parents lui donnèrent le doux nom de Serena, l’enfant calme et serein. On ne su jamais si dénomination eu l’effet de prière ou de malédiction. Quoiqu’il en soit, elle était myope. Son enfance fut calme, ponctuée par sa réussite scolaire et son don pour le dessin. Très vite, elle s’était mise à prendre des cours pour améliorer ses capacités et elle avait participé à bon nombre de concours de jeunes talents. Le symbole d’une de ses victoires trônait dans le salon de ses parents.
Ses parents raffolaient de la vie mondaine, se faisant inviter dans des soirées bourgeoises grâce à leur réussite professionnelle. Ils mettaient en avant ce qu’ils jugeaient être leur meilleure réussite, leur fille talentueuse, une dessinatrice hors pair. L’enfant n’acceptait cette mise en scène que parce qu’elle mettait dans un état de bonheur absolu ses parents.
Serena réalisait quelques portraits à la demande de certaines personnes, mais sans savoir pour qu’elle raison, peut-être de l’égoïsme, elle se refusait toujours à se séparer de ses œuvres. C’était comme s’ils étaient une part d’elle. Parfois même, elle se surprenait à les voir bouger. Surement un effet du à sa mauvaise vue.
Tout se compliqua vers ses quinze ans, en pleine crise d’adolescence. Mais c’est durant cette période que sa vue régressa brutalement. Un médecin lui avait froidement expliqué qu’il s’agissait d’un décollement de la rétine. Le risque de développer cette maladie était accru lorsque le patient était sujet à la myopie. Ainsi, elle devenait aveugle. Mais le sort semblait s’acharner sur elle. Il semblait interdit à cette petite créature de profiter du bonheur plus longtemps. C’était au tour d’autres de profiter de ce concentré de chance et de talent.
Déterminée à profiter de sa vue le plus longtemps possible, elle se mit à dessiner, redessiner, toujours dessiner. Elle ne se surprenait plus à voir ses dessins prendre vie. Ils ne se contentaient plus de bouger sur la feuille, c’était comme s’ils se matérialisaient devant ses yeux : des oiseaux, les branches d’un arbre, un nuage, un animal et bien d’autres. Un jour, alors qu’elle venait de dessiner une de ses peluches préférées, le dessin prit forme comme toujours, et s’approcha d’elle. L’adolescente frissonna lorsque celle-ci la toucha. Ainsi, ces hallucinations n’étaient pas dues à sa simple vision déformée. Elle sentait vraiment ce qu’elle dessinait. Donner vie à ses rêves, à sa passion, tant qu’elle le pouvait c’était tout ce qui comptait.
Ces soirées bon chic bon genre, commençaient à lui peser. Très vite elle cessa de s’y rendre, prétextant une maladie saisonnière quelconque, une trop forte dose de travail scolaire, de la fatigue. Ses parents s’inquiétèrent, redoutant que leur trésor ne fasse une dépression. C’est là qu’ils la retrouvèrent, en plein délire et se parlant à elle-même. Elle avait les yeux écarquillés lorsqu’elle s’adressa à eux.
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Vous les voyez aussi non !?! Regardez ce que j’arrive à faire ! Mes dessins prennent vie !Ces parents, plus qu’inquiets commencèrent à remettre en cause leur éducation. Peut être qu’ils lui avaient mis une pression trop forte pour ses épaules de jeune fille de dix-sept ans maintenant. Mais la jeune fille s’entêtait, et son père, emporté par la colère et l’incompréhension se rua sur son carnet à dessin. Il déchira une bonne partie de ses croquis, mettant fin aux hallucinations de la jeune fille, en proie au désespoir et à une crise de panique.
Qu’allait-elle faire maintenant ? Que lui restait-il ? Sans ses dessins elle ne pouvait se résoudre à survivre. Le seul espoir tenait à sa maladie qui lui permettait d’atteindre des niveaux inégalés en dessin. Le summum de l’art. L’art pour la vie.
Son discours ne suffit pas à ses parents qui se résolurent à la confier aux mains expertes du plus réputé docteur de la ville : M.Parkinson.
Pouvoirs : "Dessine moi un mouton !" :
Tu as désormais la possibilité de donner vie à tes dessins d'une taille inférieure à 10 cm, qui "sortiront" alors de la feuille pour prendre une forme concrète correspondant à l'apparence que tu leur as offert. Néanmoins cela ne marche pour l'instant que sur les objets inanimés n'ayant pas de mécanisme interne (en gros, laisse tomber les bombes et les petits flingues) et ne marche pas pour l'argent. Le staff se réserve le droit de dire que le dessin est foiré (et ce peu importe le niveau que tu auras alors).
Multicompte : oui... -_-"
Age : 20 ans
Nom de l'avatar : Martha Higareda
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