Alors que les oiseaux volaient haut dans le ciel. Les doux rayons du soleil de San Francisco caressaient avec délicatesse la peau délicate de Kate. Sa peau sucrée était couverte d’un simple short en jean avec une tunique en lin blanc qui se mouvait avec délicatesse. Les motifs floraux qui arpentaient généreusement son corps l’enveloppaient dans une atmosphère sensuelle. Son Grand chapeau de paille posé avec une grâce que l’on devinait rendait le tableau charmant et tentateur. Son cou charmeur portait sa tête avec une simplicité merveilleuse laissant ainsi les épaules souples pour tous mouvements. Ses mains délicatement posé sur le volant de sa Dodge Viper Cabriolet caressaient avec un mouvement lent, régulier, tendre et répétitif. La chaleur accentuait cet état de calme en attendant que le feu passe au vert. A sa droite, une bande de garçon n’arrêtaient pas de baver contre leur vitre. Kate consciente de la poussé de phéromone de l’autre voiture, pris sont rouge à lèvre et le déposa avec charme sur ses lèvres gourmandes et généreusement voluptés. Ses voisins ne tenant plus l’esclaffèrent :
- Mademoiselle, un petit baisé s’il vous plaît ?
Les yeux de mademoiselle Penny se posèrent sur ces dragueurs du dimanche. Ouvrit la bouche et répondis d’une voix cristalline mais froide.
- Désolé mon petit mes lèvres attendent des gens avec un peu plus d’expérience que toi.
Le feu passa au vert à ce moment. D’un léger mouvement du pied, les pauvres bourgues la virent partir à toute vitesse.
…
Après plusieurs minutes à slalomer entre les voitures pour être à l’heure, Kate arriva à se garer dans un magnifique créneau. Lorsqu’elle descendit de sa voiture, les talons de ses chaussures claquèrent. Une fois rentrée dans le cabinet du docteur Parkinson, elle s’installa proche des rideaux derrière une table basse, où l’on pouvait voir toutes sortes de journaux. Kate pris un long fils de laine et commença son activité favorite : faire des nœuds. Le temps n’ayant pas suspendus son envol, elle se retrouva bientôt avec un fil parsemé de nœuds de différentes tailles. Lorsqu’elle commença à observer son ouvrage la porte du bureau s’ouvrit, laissant apparaitre le Dr Parkinson. Elle s’installa en entrant sur l’un des fauteuils en face du bureau.
- Alors Mlle Penny, vous voulez vous débarrasser de quoi au juste. Dit-il en s’asseyant de l’autre coté de son bureau.
- J’aimerai que vous me libériez de mes nœuds, s’il vous plaît. Je ne sais pas comment, mais je ne sais plus qui je suis vraiment ici dans ce monde. Je me sens perdus. Je suis ailleurs. Je suis en réel manque affectif. Je cherche un chien. Ma voiture, j’ai oublié mes clefs sur ma voiture…
Alors que le débit de paroles prenait de l’ampleur, le psychologue contourna son bureau et vint s’assoir sur l’autre fauteuil tout proche. D’un geste assuré il posa sa main sur l’épaule de la jeune femme, ce qui eu pour effet de l’arrêter dans son torrent de paroles incompréhensible. Son regard fixa avec intensité Kate. Cette dernière se sentit faiblir, une lourdeur emplis tout son être. Tout le bureau s’effaçais avec légèreté, le seul repère de la jeune fille était les yeux du docteur. Elle ne saura dire se qu’il s’était passé, mais un seul clignement d’œil avait suffis à sombrer dans le noir total.
Lorsque les paupières se ré ouvrèrent, Kate eu une envi de vomir. Elle se retrouvait avec un mal de crâne abominable. Seul dans une rue déserte, en pleine nuit et en plein San Francisco. Pas âmes qui vivent, quoi que, au loin on entendait des cris de temps à autre. S’était comme le temps avait été perturbé. Ce n’était pas la ville qu’elle connaissait. Et cette nouvelle la ravis, c’était un nouveau terrain de chasse pour elle. Un large sourire s’afficha sur ses lèvres. Se relevant tant bien que mal, et se posa contre un mur.
La lune éclairait avec un charme démesuré l’espace environnant. Deux hommes vinrent à arriver sur le trottoir en face. Aussi étonner qu’eux, Kate s’approcha avec une souplesse somptueuse vers eux. Les hommes étant des hommes normalement constitués ne cachèrent pas leur joie de voir une aussi jolie jeune fille se promener dans la rue. L’un des deux fût tout de même plus réservé que l’autre. C’était un de ces types aux origines scandinaves. Blond, avec de magnifiques yeux verts pomme, il laissait transparaitre une force froide qui attendait seulement de se faire réchauffer. Alors que l’autre semblait déjà, bien allumé, sans doute par ses origines méditerranéennes. C’était de bel homme, on s’entait autour d’eux une odeur marines, l’eau iodée des voyages et du travail au grand air. Le blond disait qu’ils avaient une mission et qu’il serrait mieux pour eux de cherché des « rêveurs ». Kate ne compris pas tout de suite. Mais le beau brun qui lui faisait face avait déjà changé de place pour se mettre de l’autre coté de la jeune fille. Notre belle demoiselle se retrouva entre les deux hommes, avec une envie de jouer grandissante. Alors jouant le grand jeu, elle s’approcha du scandinave et gouta à ses lèvres. LE gout n’était pas désagréable, il était plus excitant. Pour ne pas laisser l’autre sur sa faim, elle se retourna pour se plaquer contre le tors du beau blond pendant que l’autre prenait possession de sa bouche.
Soudain, elle senti les deux paires de mains masculine s’attarder entre ses cuisse, mais surprise par tant d’audace si rapide, elle eu un petit hoquet de surprise. Mais il fut caché par les râles des deux mâles qui semblaient aimer sa compagnie. Une chose perturba alors Kate, une envi d’échapper à la réalité la reprenais. Son seul moyen de s’accrocher à la terre ferme était ses fichus nœuds qui lui pourrissait l’existence. Son seul problème la s’était qu’elle ne pouvait pas faire de nœuds avec de la laine. Prise en sandwich par deux matelots, elle chercha un moyen de se soustraire à leur étreinte chaude. Mais l’envi des deux hommes se faisait sentir. Dans un geste léger Kate pris le bras du méditerranéen, et s’en même s’en rendre compte l’étira vers elle tel une pate à fixer.Et frénétiquement en fît un nœud, lorsqu’elle lâcha, l’homme se mit à hurler de douleur, il essaya de retirer son bras complètement flexible. Seul problème c’est qu’avec un bras c’est dur, il devais donc attendre un peu t’aide. Le scandinave surpris, la traita de S***** et la gifla et la mettant ainsi à terre. Sans même s’en rendre compte elle venait de nouer le bras d’un homme. Les yeux de Kate marqués par l’étonnement et la fatigue, surpris quelque peu son beau blond, mais il assoma la demoiselle. Sur sa peau délicate la force de son agrésseur n’eu d’autre effet que de la faire tomber dans un trou noir. Mais juste avant de fermé complètement les yeux elle senti son corps se soulever et retomber sur l’épaule de l’homme encore valide et elle sombra dans l’inconscience, inerte.